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 Historique, crédo, statuts, … 

Historique

C’est en 1915 que Henri Giessenbier Jr. fonda à St Louis (USA) une Association de Jeunes Gens, ayant pour programme de rendre service à la communauté. L’idée se propagea ensuite sur tout le territoire des États-Unis et aboutit en 1924 à la fondation de l’United States Junior Chamber of Commerce. Le mouvement rencontra un vif intérêt dans les pays anglo-saxons et dès 1926 de nouvelles Chambres furent créées en Grande-Bretagne et au Canada. C’est en 1932 que se constitua le conseil exécutif de toutes les «Junior Chambers», avec pour but d’étendre le mouvement au reste du globe. Le premier congrès mondial eut lieu en 1944 à Mexico pour ratifier la constitution de la Junior Chamber International (JCI). A l’heure actuelle, la JCI développe ses activités dans plus que 100 pays des cinq continents et compte environ 5000 Chambres locales comprenant environ 200’000 membres. Un secrétariat permanent est installé à St. Louis (USA) occupant un état-major des collaborateurs à plein temps.

Développement en Suisse

La première Chambre de notre pays fut fondée à Genève en 1955. En 1959 Lausanne suivit et en même temps se constitua la Jeune Chambre Economique Suisse JCIS (synonyme : Junior Chamber International Switzerland). La Jeune Chambre Economique de la Glâne fut  fondée en 1988. Depuis, son développement en Suisse a fait de rapides progrès et l’on compte en tout 68 Chambres locales avec plus de 3150 membres. L’établissement de nouvelles Chambres est sa préoccupation constante.

Credo

“Nous croyons…”

Chacun doit croire à un idéal, à un principe ou à une philosophie particulière. Croire, signifie mettre en application ce que l’on croit être vrai.

“…Que la foi en Dieu donne à la vie son véritable sens…”

Les adhérents de la Jeune Chambre, issus de différents milieux religieux sont unis par une volonté de foi commune; et que l’Homme vit selon la volonté de son Dieu; que la volonté de Dieu à l’égard de l’Homme est bonne; et qu’une vie utile est vécue en harmonie avec son dessein éternel.

“…Que la fraternité humaine transcende la souveraineté des nations…”

Cette phrase abolit toutes les frontières qui ont été imaginées par l’Homme. Elle signifie simplement que les hommes et les femmes sont égaux. Elle respecte le sentiment de loyauté d’un individu à l’égard de son pays, mais en même temps elle renforce l’idée que l’être humain est un citoyen du monde.

“…Que la liberté des individus et de l’entreprise assure mieux la justice économique…”

Partout où l’avancement économique a été le plus grand, l’Homme a été libre de poursuivre son rêve de faire fortune, en faisant quelque chose de nouveau, ou en perfectionnant des idées anciennes. Le système d’auto-développement, grâce à l’entreprise privée doit pouvoir être modifié afin de s’adapter aux conditions locales rencontrées dans diverses parties du monde.

“…Que le gouvernement doit s’appuyer sur la loi et non sur l’arbitraire…”

Ce principe du Credo signifie simplement que personne n’est au-dessus de la loi et que la loi doit être la même pour tous les individus, indépendamment du statut particulier d’une personne au sein de la société. Le gouvernement doit être basé sur des lois constitutionnelles, acceptées et ratifiées par la majorité des citoyens. Le pouvoir de changer les lois et d’élire des gouvernements doit rester entre les mains de la majorité des citoyens “…le peuple, pour le peuple, par le peuple…”.

“…Que la personne humaine est la plus précieuse des richesses…”

Le véritable trésor est dans le cœur des Hommes. Il y a en nous un domaine de possibilités étendues pour développer la personne humaine. Ce n’est ni la quantité, ni la longueur de la vie qui lui donne sa saveur, mais c’est la qualité de la vie et les tâches que nous accomplissons mesurées en fonction du progrès humain.

« …Et que servir l’humanité constitue l’œuvre la plus noble d’une vie. »

Une vie vécue au service des autres est plus enrichissante, plus profonde et plus complète. Le bonheur est plus durable et la tranquillité d’âme plus certaine. Le monde est conscient de la contribution apportée par une telle vie et reconnaît celui qui l’a vécue comme un bienfaiteur de la race humaine ; cependant ce dernier sait qu’en vérité il est le plus grand bénéficiaire.